The Loneliness of The Long-Distance Runner... 
« Your average marathoner is, for whatever reason, uncomfortable with comfort. It may be difficult to read in the slackened face of a runner approaching the finish line after twenty-six miles. But on some level, (…) he’s delivering a very pointed fuck off to something or someone. (...)

The object of [Colin] Smith’s resistance [in « The Loneliness of the Long-Distance Runner »] was the Borstal’s condescending authority figures, who took an opportunistic pride in his talent. (...)

The trade-off for submitting voluntarily to the pain of a marathon — which really can be otherworldly — is the opportunity to transcend your anger, to step outside normal life and build a unique narrative out of a sanctioned act of rebellion.

For several hours, the long-distance runner becomes a sober and well-hydrated flâneur carousing through city streets, absorbing floods of impressions and assembling the images and thoughts that will animate [their] post-run account. »

James McWilliams

https://www.theparisreview.org/blog/2016/04/18/on-the-road/ 


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