All I want is in a photograph
Of you that day by the towpath
And the sounds we made decay around my ears
And the words you said just disappear...
Je souhaiterais maintenant parler du travail d’un artiste qui a abordé, de manière plutôt inattendue, tout du moins au début sa carrière, cette question de la disparition et de la transformation de milieux de vie qui, dans son cas, prennent la forme de sons enregistrés sur un support matériel, en l’occurrence des bandes magnétiques. Il s’agit de l’artiste américain William Basinski qui est connu pour ses œuvres sonores The Disintegration Loops . Je vais rapidement rappeler l’histoire de la création de ces pièces, mais ne m’étendrai pas là-dessus, parce que je souhaite davantage prendre le temps pour essayer de m’exprimer sur les sensations que j'ai pu éprouver lors de l’écoute d’une autre pièce de Basinski (qui ne fait pas partie du cycle des Disintegration Loops ). Je reviendrai donc, dans un prochain message, sur les conditions particulières d’une écoute (sans aucune prise de substance illicite !) qui m’a marqué e...
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